par Johanne GT Joan
Les secrets révélés de l'Apocalypse

Le monde a atteint le summum de la décadence à tous les niveaux de l'existence. Au lieu de rechercher la perfection par la pureté du corps, du cœur et de l'âme, l'humanité s'est appuyée sur la grâce de la crucifixion de Jésus pour ses péchés. Un mensonge facile à croire, car il lui permettait de jouir d'une confortable liberté. Un confort qui a conduit à l'injustice et aux inégalités, à la faim et à la pauvreté, malgré le dicton : « Aime ton prochain comme toi-même ! »

Les gens comprendront que l'Église catholique leur a menti pendant 2 000 ans. Grâce à la redécouverte de l'Évangile de Jean-Baptiste, le monde se réorientera. Une nouvelle version du christianisme émergera : le christianisme essénien, qui donnera à l'humanité un véritable espoir de paix mondiale.

Jean-Baptiste a parlé de la nature en paraboles. Il n'a pas révélé une nouvelle doctrine, mais plutôt traduit le langage immuable de la nature, dans lequel la volonté de Dieu est écrite, car les humains, malgré leur intelligence, en étaient incapables. Il a parlé de renaissance, d'une nouvelle création qui touche non seulement un élu, mais le monde entier. Et il nous a donné des instructions compréhensibles sur la manière dont l'humanité peut se libérer du mal qui est manifeste en elle et devenir un enfant de lumière. L'objectif était d'établir le paradis sur terre – et la vie éternelle.

L'idée de base de la falsification de l'Évangile essénien par le Nouveau Testament

Sous couvert d'amour, l'Église catholique a bâti son empire du mensonge. Mais comme il est impossible de mesurer l'amour, ni de le rendre visible – d'autant plus que ceux qui se vantent de leurs bonnes actions ont déjà reçu leur récompense – chacun peut prétendre aimer, qu'il aime ou non…
Le falsificateur du vrai message a dû inventer une religion qui ressemble un peu à une religion, mais qui est si pratique que la plupart des gens ne la remettraient pas en question.
L'objectif était d'abolir, un par un, les commandements anabaptistes esséniens, de manière astucieuse et systématique. Les gens devaient abandonner l'idée de fraternité, avec toutes ses conséquences. Pour y parvenir, il fallait les tromper en leur faisant croire que leurs actions, leur santé, etc., n'avaient rien à voir avec leur bien-être spirituel.
Le défi était : comment emballer ce mensonge ?
C'est simple ! On leur dit que l'humanité est fondamentalement mauvaise et incapable d'observer les commandements de Dieu. Mais Dieu aime ses enfants et ne veut pas qu'ils périssent. C'est pourquoi il a envoyé son Fils sur terre pour mourir pour les péchés de l'humanité. Aussi absurde que cela puisse paraître, les gens voulaient y croire, car désormais, l'humanité est sous la grâce de Dieu, et ce ne sont pas leurs actions qui les sauvent de l'enfer éternel, mais la foi seule dans le sacrifice de Jésus.
Le chrétien reconnaît sans discernement son mal, perd sa maturité et jouit dès lors d'une sorte de liberté insensée, ne doit renoncer à rien et remercie Jésus pour son sacrifice, qui rend cette vie possible. Qui pourrait refuser un tel don ?
Le christianisme oblige ses adeptes à reconnaître leur insuffisance, à observer les commandements divins et à reconnaître leur propre méchanceté. Le falsificateur semblait posséder une profonde compréhension psychologique de la nature humaine, car il a conçu une religion sur mesure que la majorité ne remettrait pas en question : le salut de l’âme sans aucune récompense.
La crucifixion de Jésus pour les péchés de l'humanité suscite chez les jeunes une conscience coupable. La femme porte également un double fardeau, car elle aurait provoqué la ruine de l'humanité par la Chute.
Et puis il y a la perspective de l’enfer éternel pour quiconque doute que Jésus soit mort pour ses péchés.

La religion de la grâce étant insensée, les chrétiens furent bombardés de toutes sortes de miracles dans les Évangiles, auxquels ils furent contraints de croire pour définir leur foi. Ainsi, ils ne soupçonnaient ni la naissance virginale ni le salut par la crucifixion du Fils de Dieu.

La conscience coupable, la liberté d'agir bêtement, la peur de l'enfer et la croyance inconditionnelle aux miracles constituent un mélange précis de carotte et de bâton qui a conduit au résultat souhaité. Le falsificateur savait que la majorité préférerait crier « mea culpa » plutôt que de renoncer à ses désirs de toutes sortes.

« Le secret réside dans la façon dont on meurt »

En effet, l'essence de mon travail a mené au mystère de la mort, que les pervers du véritable message cherchaient à nous dissimuler à tout prix, car cette révélation aurait conduit à la fondation d'une fraternité. La mort ne s'achève pas avec notre dernier souffle. Elle se poursuit dans la tombe ou au fond d'une fosse – en secret.
Les termes « tombe » ou « fosse » précisent le type de mort qui a eu lieu. La tombe représente la résurrection, la fosse le but terrestre non atteint. Dans ce contexte, la consommation de viande au cours de la vie joue un rôle crucial.